Tous mes articles spirituels 

Semaine 18 2025

La planchette oui-ja - partie 1

Le oui-ja s’est présenté sous différentes formes, le principe étant de désigner successivement des lettres pour former des mots, puis des phrases. La forme la plus commune et à la fois rudimentaire, est celle du verre autour duquel on dispose les lettres de l’alphabet. Les participants posent chacun un doigt sur le verre qui peut se mouvoir par une force invisible le dirigeant versles lettres. L’Esprit combine alors l’énergie fluidique des participants avec la sienne propre pour obtenir le déplacement du verre.

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Semaine 17 2025

Les esprits du tsunami

Le 11 mars 2011, le nord-est du Japon a subi une triple catastrophe : le tremblement de terre, le tsunami et l’accident grave de la centrale nucléaire de Fukushima. Cette triple catastrophe a provoqué de lourdes pertes, à la fois matérielles et humaines. Le jour même, le désastre a ôté la vie à 15 894 personnes. À ces morts se sont ajoutés les disparus, dus principalement au tsunami : 2 600 personnes dont on n’a pas retrouvé les corps et dont l’existence demeure pour leurs proches en suspens, à mi-chemin entre la vie et la mort. Après la catastrophe, un certain nombre d’habitants de la région du Tōhoku ont cru voir réapparaître l’un de leurs proches disparus sous la forme d’un revenant. Ces expériences ont suscité de multiples réactions : émissions de télévision, ouvrages d’analyse ou de fiction qui tentent de donner un sens à ces rencontres et à travers elles, à la catastrophe vécue par les Japonais. C’est le cas par exemple du best-seller de Shūji Okuno Soyez auprès de moi, même sous forme d’âme : écouter les expériences spirituelles après le 11 mars, ou encore de l’ouvrage Les fantômes du tsunami, par Richard Lloyd Parry.Parmi les cas cités par Kudo, se trouve celui d’un chauffeur qui, au début de l’été suivant le tremblement de terre de 2011, estinterpellé par une cliente habillée d’un manteau épais. Elle lui demande d’aller à Minami-hama, un quartier côtier complètementdévasté par le tsunami, et désormais réduit à un vaste terrain vide. Le chauffeur la prend à bord de son taxi, mais, tandisqu’il conduit, il est pris d’un doute. Il lui demande : «Pourquoi souhaitez-vous aller à Minami-hama ? Vous n’avez pas chaudavec ce manteau ?» Elle lui répond d’une voix tremblante : «Est-ce que je suis morte ?» Tout surpris, il se retourne, mais netrouve personne dans la voiture. En août 2013, un autre chauffeur remarque une petite fille toute seule au bord de la route, en pleine nuit. Elle est en tenue d’hiver. Elle porte un manteau, un bonnet, une écharpe et des bottes, un accoutrement tout à fait hors saison. Comme il est minuit, il lui demande : «Petite, où sont ton papa et ta maman ?». Elle lui répond : «Je suis seule». Comme il estime que c’est une enfant perdue, il décide de l’emmener chez elle. À l’arrivée, elle disparaît en un instant, tout en disant : «Merci, monsieur !»Le plus remarquable dans ces nombreux récits rapportés par Yuka Kudo tient aux réactions des chauffeurs de taxi. S’ils sonteffrayés, tous témoignent à posteriori d’un profond respect pour ces entités qu’ils désignent sous les termes de «personnes». Ilsn’expriment pas de peur à leur égard, leur surprise initiale s’étant rapidement transformée en une forme de «déférence».Ils prennent ainsi la défense de ces morts qu’ils rencontrent. Lors de l’enquête menée par Kudo, l’un des chauffeurs s’énerve enlui disant : «Ne les appelle jamais des fantômes !» (avec un air de mépris) Un autre raconte : «Le jour même de ma rencontreavec cette «personne», je me suis retenu d’en parler à quelqu’un d’autre, et maintenant je suis résolu à la garder secrète. Car siles autres pensent que je mens, leurs existences seraient niées.»D’autres cas encore sont rapportés dans un documentaire récent diffusé sur Netflix : Enquêtes extraordinaires : Les espritsdu Tsunami. En voici un très intéressant et parlant, quant aux croyances spirituelles japonaises. Au nord du Japon, la provincede Tohuku est une région très rurale qui perpétue des traditions très spirituelles. L’on y invoque l’âme des morts dans un rituelappelé Koshiose par un chaman qui endosse le rôle de passeur, de médium afin que ces Esprits puissent raconter leur histoire.C’est donc une tradition ancestrale dans la région du Tohuku où la mort ne constitue pas la fin du voyage et l’idée que la mortprocède par aller-retour est très répandue dans cette région.Ainsi dans le reportage, apparaît le prêtre révérend Kaneta qui relate un fait relatif à une rencontre avec une femme qui avaitbesoin d’aide :

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Semaine 16 2025

L'esclavage moderne : point de vue spirituel, L’exigence de l’amour, du respect, de la solidarité et de la liberté

Les Esprits ont toujours indiqué que la planète Terre n’appliquetoujours pas le message universel : «Aimez-vous les uns les autres». Le monde des Esprits nous enseigne toujours le sens de l’amour du prochain. Il nous invite à l’action (lutte sociale et force de la pensée) en complémentarité avec lui puisque les Esprits sont en lutte à nos côtés pour qu’adviennent cet amour, cette solidarité, ce respect, cette liberté et, au final, le bonheur de tous.Dans un message, un Esprit nous résume très bien la marche àsuivre pour venir à bout de l’esclavage, quel qu’en soit sa forme :«Le vrai chemin qui conduit à rompre les chaînes de l'esclavagehumain est celui de l'amour, non pas le chemin de l'amour béatet passif, celui des adorations religieuses, mais celui de l’amourconscient, de l’amour qui conduit au respect, à l’acte solidaire, àla reconnaissance de l’autre comme étant un enfant de Dieu, del’amour qui conduit à effacer la mort et à voir nos deux mondes en osmose, oeuvrer pour le bonheur de tous. Les hommes deviendront libres lorsqu’ils comprendront que la liberté implique leur engagement, leur responsabilité. Comment devenir libre sinon en ayant compris que nous sommes justement vivants pour le devenir.»

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L'esclavage moderne : LE POINT DE VUE SPIRITE, Le changement de système économique pour une meilleure répartition des richesses

Les pratiques d’exploitation sont enracinées dans le paradigmeéconomique actuel de croissance et de développement qui place les profits au-dessus des personnes. Un cadre légal international contre l’exploitation n’est pas suffisant. Pour lutter efficacement contre l’exploitation, et s’il est nécessaire de mobiliser et former les travailleuses et les travailleurs, il est également impératif de s’attaquer aux politiques qui créent ou exacerbent les vulnérabilités d’un grand nombre de personnes car pauvreté et esclavage sont indissociables. Ces politiques sont celles du capitalisme international qui se sont exacerbées ces dernières décennies avec le néolibéralisme, la rapacité actionnariale, le colonialisme économique, symboles de l’égoïsme et de l’individualisme aux antipodes d’une économie solidaire avec une meilleure répartition des richesses sur une planète qui a pourtant largement de quoi offrir des conditionsde vie dignes pour toutes et tous.

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L'esclavage moderne : LE POINT DE VUE SPIRITE La Terre planète inférieure mais un monde des Esprits solidaire et en lutte

Le petit tour d’horizon de l’esclavage moderne ci-dessus esthélas non exhaustif car chaque pays est plus ou moins concerné, à plus ou moins grande échelle. Il s’agit d’un problème mondial qui témoigne du peu d’évolution de notre planète. La spiritualité nous enseigne que le monde des Esprits n’est pas un lieu éloigné du nôtre : il reste proche des vivants et dans l’action pour faire progresser la planète, notamment pour des conditions de vie dignes pour tous par l’extinction progressive de toutes les formes d’esclavages. La réincarnation permet que de plus en plus d’esprits se réincarnent en conscience et avec détermination dans ce but.L’au-delà tente d’ouvrir les consciences incarnées sur ce globe,d’influencer les décideurs et de soutenir tous les esprits réincarnés qui se battent pour faire changer les choses, à l’exemple d’Iqbal Masih :Iqbal Masih est né le 4 avril 1983 à Muridke au Pakistan et mort le 16 avril 1995 dans le même village. C’est un jeune Pakistanais vendu comme enfant esclave à l’âge de quatre ans. Il devint une figure mondialement connue de la lutte contre l’esclavage moderne à dix ans et fut assassiné en raison de son combat en 1995 à seulement douze ans. Depuis son au-delà, il continue de lutter en soutenant les esprits réincarnés qui se battent contre l’esclavage moderne comme lui l’a fait en son temps terrestre.Concernant le cas horrible des enfants soldats décédés, le monde des Esprits assure une prise en charge toute particulière. En effet, ils sont accueillis dans l’au-delà par d’autres esprits évolués qui s’occupent d’eux pour évacuer tous les traumatismes vécus après cette difficile incarnation. Ils leur apprennent que l’amour peut remplacer le fusil.

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